Le Grand Livre des Morts des Anciens Égyptiens
Auteur(s) | Joseph Castelli |
Éditeur | Editions Maçonniques |
Date de parution | 2006 |
Code EAN | 9782352130710 |
Rayon | Livres Alchimie Alchimie |
69.00 €
Description
Thoth se serait créé lui-même au début des temps, de même son épouse « Maât ». Les deux produiront huit enfants dont le plus important, « Amon », celui qui est caché était surtout vénéré à Thèbes comme maître de l’Univers.
Protecteur des arts et des sciences, il créa le langage, les hiéroglyphes et écrivit entre autres le « Livre des Morts ». Il est considéré comme étant le cœur et la bouche du grand dieu-soleil, Amon-Ra (ou Ré).
Après jugement des paroles des morts, Thoth donnait aux dieux son verdict final et décidait alors si l’âme devait être bénie ou maudite. Thot était le garant du calendrier Égyptien.
Lors des rites du couronnement du roi, il consignait les années de règnes du souverain et inscrivait son nom sur les feuilles de l’arbre sacré. Thot est l’inventeur de l’écriture et des langages, le gardien de l’ordre divin, de tous les rituels et du savoir secret.
C’est Thot qui, devant Osiris, inscrit le résultat de la pesée de l’âme du défunt.
Il fut le premier à organiser les affaires religieuses et le gouvernement.
Il est représenté sous l’aspect d’un homme à la tête d’Ibis, ou sous la forme purement animale d’un Ibis ou d’un babouin. Il porte de quoi écrire et note tout. Il est montré dans toutes les scènes majeures dans lesquelles apparaissent les dieux, principalement lors du jugement des morts.
Jean-François Champollion (1790-1832) avait nommé « rituel funéraire » l’une de ces collections de textes publiées par les savants de l’expédition d’Égypte.
En 1842 par l’égyptologue allemand Karl Richard Lepsius (1810-1884) en fit une édition d’après un papyrus de Turin, daté de l’époque des Ptolémées, comportant 165 formules, auquel il donna le nom de Todtenbuch (Livre des Morts), qui lui est resté. Dans son édition, chaque formule correspondait à un chapitre : depuis, titre et division en chapitre ont été repris par tous les éditeurs et traducteurs de ces textes, le papyrus de Turin constituant ce qu’on pourrait appeler la « vulgate ».
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