Le Filet d’Ariadne
Auteur(s) | attribué à Sébastien Batsdorff, recherches de Joseph Castelli et Patrick Pierrot |
Éditeur | Editions Castelli |
Date de parution | 2007 |
Code EAN | 9782353170210 |
Rayon | Livres Alchimie Alchimie |
24.00 €
Description
Mais certains pensent que Gaston de Claves pourrait en être l’auteur.
Quoi qu’il en soit, Fulcanelli le cite plusieurs fois, notamment dans les Mystères, p. 104, quand il aborde le thème de la putréfaction.
Il y revient p. 184 en évoquant le Lion vert qui est, paraît-il, le vaisseau de nature. Par la voie humide, il est beaucoup plus « intuitif » de comprendre que le vaisseau de verre et l’autre, à l’intérieur, où doit circuler le dissolvant, sont les deux vaisseaux dont l’artiste a besoin.
Fulcanelli revient dans ses Demeures philosophales sur le Filet d’Ariadne, d’abord dans le chapitre Alchimie et spagyrie, p. 181 où il cite Batsdorff, évoquant ses recommandations dans l’Art sacré, puis dans le chapitre sur Louis d’Estissac, où il reproche à Batsdorff d’induire les ignorants en confusion, en les orientant vers l’antimoine.
Dans le grimoire lapidaire de Dampierre, il cite encore plusieurs fois l’auteur du Filet d’Ariadne, d’abord quand Batsdorff énumère les bienfaits de la Pierre et notamment son action sur les pierres précieuses, puis à propos de la Lampe philosophique, où il est fortement question d’alun ou à propos de ses vertus thérapeutiques allégations de guérison d’écrouelles, d’ulcères, de loupes, paralysies, blessures, etc..
Enfin quand Fulcanelli nous parle du sel des métaux à l’occasion de l’évocation du cadran solaire du palais Holyrood à Edhimburg.
Ce cadran solaire est regardé, soit dit en passant, comme un monument élevé au Vitriol philosophique, premier être de la pierre philosophale.
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