Trois traités inédits – Commentaires sur Trévisan et Artéphius et Abrégé du secret des secrets précédé de De l’admirable mystère de la Terre suivis de cinq brefs traités –
Auteur(s) | Eyrénée Philalèthe Chalybe (Annotateur) |
Éditeur | DU COSMOGONE |
Date de parution | 15/12/2020 |
Code EAN | 9782810302765 |
Rayon | Livres Alchimie Alchimie |
76.50 €
Description
Quoique nous ayons fait choix d’encenser l’Abrégé du Secret des Secrets, les deux Commentaires sur Trévisan et Artéphius qui lui sont alliés, comparativement, ne déméritent en aucune façon quant à leur valeur philosophique. Mais par respect pour une pensée aussi subtile que profonde quant aux dénouements efficients des Secrets de la Nature, parfaitement synthétique et indissolublement conjointe aux pratiques alchimiques, à savoir en hommage au parcours terrestre et spirituel de PHILALETHE, nous avons préférablement suivi la voie chronologique pour restituer, selon qu’il l’entendît lui-même, son Enseignement arcanique, échelonné.
C’est pourquoi cet ouvrage conséquent, l’Abrégé rédigé, disions-nous, entre 1694 et 1695, occupera la troisième et dernière place, clôturera ainsi ce Spicilège. A nos yeux ces Traités, outre qu’ils ne s’apparentent pas moins, chacun d’entre eux et en égalité de qualité, à des Chefs-d’oeuvre de doctrine hermétique, réunis ici, forment en définitive autant un Corpus indissociable qu’une Trinité philosophale.
Nous dirons, en outre, que le premier s’en montre, rétrogradé par nous à cette place, le bouquet final, en quelque sorte exprime ou traduit-il l’Apothéose ou le Triomphe surréel, autrement dit la Dignité adeptale, auquel parvint, relativement jeune, le Philosophe anonyme.
C’est pourquoi cet ouvrage conséquent, l’Abrégé rédigé, disions-nous, entre 1694 et 1695, occupera la troisième et dernière place, clôturera ainsi ce Spicilège. A nos yeux ces Traités, outre qu’ils ne s’apparentent pas moins, chacun d’entre eux et en égalité de qualité, à des Chefs-d’oeuvre de doctrine hermétique, réunis ici, forment en définitive autant un Corpus indissociable qu’une Trinité philosophale.
Nous dirons, en outre, que le premier s’en montre, rétrogradé par nous à cette place, le bouquet final, en quelque sorte exprime ou traduit-il l’Apothéose ou le Triomphe surréel, autrement dit la Dignité adeptale, auquel parvint, relativement jeune, le Philosophe anonyme.
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