LE ROMAN ALCHIMIQUE

Parmi les grands initiateurs du XIXe siècle, parmi les auteurs que l’on peut considérer comme les maîtres, ou au moins les sources importantes des grands occultistes que furent Papus, Stanislas de Guaïta, Jollivet Castelot et ceux qui les entourèrent, il faut placer au premier rang Louis Lucas (disciple de Wronski) auquel Papus consacra une courte biographie dans l’un de ses traités de sciences occultes.
Lucas fut l’auteur de La Chimie nouvelle (Paris, 1854), L’Acoustique nouvelle (1849 et 1854) et La Médecine nouvelle (1862).
Le Roman alchimique, quant à lui, est qualifié de « merveilleuse analyse occulte, sociale et philosophique… » par Papus.
Sous une forme romanesque l’auteur développe tout au long de plusieurs dialogues une analyse très profonde de l’Alchimie qui apportera au lecteur attentif bien des renseignements précis.