Véritables récits de magies noires d’hier et d’aujourd’hui

Véritables récits de magies noires d'hier et d'aujourd'hui
Auteur(s) Jean-Luc Caradeau
Éditeur LIBRAIRIE DE L'INCONNU
Date de parution 19/06/2003
Code EAN 9782841972500
Rayon Livres
Magie et sorcellerie

21.80 

Description

La sorcellerie existe, je l’ai rencontrée. Mais il n’y a rien de commun entre un luciférien, un sataniste et un sorcier de campagne. La sorcellerie originelle constitue une sorte de religion syncrétique unissant le paganisme gréco-latin, les éléments druidiques et nordiques, les pratiques chamaniques… Le sabbat est au cœur de cette célébration, quatre fois l’an. On y pratique les rites orgiaques… bien souvent de façon virtuelle. Aujourd’hui l’histoire a laissé son empreinte : l’auteur a collecté beaucoup d’informations sur les néodruides, les lucifériens, les satanistes… Les convents continuent de célébrer dans la nudité et par le sang, les messes noires n’ont sans doute pas disparu, les rituels invoquant le diable prolifèrent… Les wiccas actuelles, qui résultent des doctrines occultistes anglo-saxones, fonctionnent en grand nombre, mêlant religion et magie. Quant aux actes de foi sataniques, il faut plutôt chercher dans le passé, autour du procès de Gilles de Rais ou de l’Affaire des Poisons, ici largement décryptés d’après les minutes juridiques et qui n’ont guère d’équivalent dans l’atroce. Ne pensons pas cependant que le monde d’aujourd’hui – certains faits retranscrits dans la presse sont ici rapportés – soit à l’abri de ces abominations. Le satanisme pédophile, nécrophilique, vampirique existe encore. La bête agit ! Le crime demeure ! D’Aleister Crawley, le père putatif du satanisme à Lovecraft, l’auteur ne nous épargne aucun parcours. Bien sûr les Etats-Unis sont au cœur de la dérive… Quant aux pratiques magiques interdites, elles empruntent des voies diverses : que le lecteur examinera sans concession. Ces magies noires qui tendent à soumettre l’homme à ses instincts, à ses sensations, à ses pulsions, le rapprochent de l’enfer. On peut certes porter un jugement moral, mais c’est un devoir de ne point ignorer.