La magie de la Rose-Croix d’Or

La magie de la Rose-Croix d'Or
Auteur(s) Alexandre de Danann
Éditeur ARCHE MILANO
Date de parution 01/01/2009
Code EAN 9788872522974
Rayon Livres
Magie et sorcellerie
Sociétés initiatiques
Rose-croix et martinisme

46.00 

Description

Dans Un Rose-Croix méconnu entre le XVIIe
et le XVIIIe
siècles : Federico Gualdi ou Auguste Melech Hultazob prince d’Achem
(2006), Alexandre de Dánann entamait une recherche sur la ConfrérieAureæ et Roseæ Crucis originelle (bien distincte du système à neuf grades connu comme Ordre des Rose-Croix d’Or d’Ancien Système). Il poursuit en présentant ici un document inédit d’importance extraordinaire : unBréviaire de la Confrérie de la Rose-Croix d’Or, d’après le seul manuscrit du XVIIe
siècle connu jusqu’à présent, conservé à Prague, à la Bibliothèque Nationale de la République Tchèque.
Rédigées en latin et allemand, les prières y sont entrecoupées de psaumes, de caractères magiques, de dessins et d’une centaine de sceaux magiques dont une partie s’accompagne d’un mode d’emploi en écriture chiffrée. Il est décrypté ici à l’aide d’une méthode stéganographique élémentaire par tables de correspondances des lettres, sur le modèle de celles de Trithème, en plusieurs variantes.
Ce manuscrit confirme ainsi la pratique, dans la Rose-Croix d’Or, de la magie en sus de l’alchimie, comme l’attestent également les statuts du XVIIe
siècle et des documents établissant la généalogie des textes opératifs de la Confrérie.
Une ample introduction vient compléter ce dossier Rose-Croix d’Or d’éléments nouveaux et importants, et met en lumière des personnages-clés, tels que Hinricus Madathanus alias Hadrianus a Mynsicht, et Johannes Augustinus Pantheus… Elle attire tout particulièrement l’attention sur le moins connu mais non moins important Giovan Battista Agnello, médecin et alchimiste vénitien en relation avec John Dee, et transmetteur de la tradition de la Voarchadumia, et peut-être de la Rose-Croix d’Or, en Angleterre.
Les annexes foisonnent d’informations et présentent, entre autres, les statuts de 1678 dans leur intégralité (qui démontrent l’existence de la Confrérie dès 1542-1543), un document du XVIIIe
siècle attestant d’éléments communs à la Rose-Croix d’Or et à la Franc-maçonnerie, ainsi qu’un exquis petit poème alchimique chiffré (et décrypté) du XVIIe
siècle.