A la Source de la Fraternité – Essai sur l’archétype des relations entre Salomon et Hiram dans la construction du Temple de Jérusalem

A la Source de la Fraternité – Essai sur l’archétype des relations entre Salomon et Hiram dans la construction du Temple de Jérusalem
Auteur(s) Jean Bartholo
Éditeur Télètes
Date de parution 13/10/2021
Code EAN 9782370190314
Rayon Livres
Sociétés initiatiques
Franc-maçonnerie

10.00 

Description

Cet essai n’aborde pas l’architecture du Temple de Jérusalem, de nombreux ouvrages y ont été consacrés. Jean Bartholo, en s’appuyant sur le Livre des Rois, concentre sa réflexion sur la relation entre Salomon et Hiram. Le roi Salomon construit le Temple, le roi de Tyr Hiram et l’architecte Hiram, tous deux païens viennent à son aide et entraînent tous les incirconcis. Tels sont les évènements uniques, les faits mythiques et symboliques où, pour accomplir un projet divin, il faut faire appel à l’ensemble de l’humanité.
Perspective tout à fait étonnante ? ! C’est dans le Temple de Jérusalem -Temple primordial et essentiel pour lire l’architecture du monde – que culmine le symbolisme de cette plénitude où tous entrent simultanément, égaux et distincts, et chargés de leur histoire, et en même temps librement unis. La Franc-Maçonnerie, en se référant au Temple de Jérusalem, a fondé sa symbolique et son enseignement.
Le Temple, à l’image de l’Homme et de l’Univers, permet d’accéder à la connaissance du Temple spirituel. Les loges maçonniques « habitant » des temples regroupent des femmes et des hommes issus de toutes origines, croyants ou athées, qui vont concourir à la construction du Temple à l’instar des bâtisseurs de celui de Jérusalem. La tenue maçonnique est un temps d’arrêt avant un autre départ. Les soeurs et les frères se trouvent dans « l’être » et non dans le « faire ».
Le travail libère : on regarde l’autre dans la fraternité, on quitte le pouvoir de domination que l’on peut exercer dans la société et les différences sociales s’estompent. La construction du Temple de Jérusalem permet aux êtres humains de se retrouver dans une oeuvre universelle qui dépasse l’humanité entière et qui va unir les croyants, les idolâtres et les athées. Il s’agit d’une oeuvre cosmique qui est en définitive la rencontre du sacré et du profane.