Trilogie atlantéenne – Tome 1, L’histoire de l’Atlantide précédée de La Lémurie perdue

Trilogie atlantéenne - Tome 1, L'histoire de l'Atlantide précédée de La Lémurie perdue
Auteur(s) Walter Scott Elliot
Éditeur ALEXANDRE MORYASON
Date de parution 01/01/2005
Code EAN 9782952396776
Rayon Livres
Mystères
Civilisations disparues
Atlantide - Mu

27.00 

Description

C’est comme un mugissement qui revient, par tempête ou par temps clair, de ces fonds marins qui hantent la mémoire inconsciente des hommes… L’Atlantide, terre aimée et haïe à la fois par ceux qui savent, génitrice de splendeurs que nous commençons à retrouver mais aussi d’horreurs que nous payons encore… Elle vécut fière et altière, près des « Dieux » et avec les « Dieux » qui, Instructeurs des humains, circulaient librement sur son sol fertile et ses eaux domptées.
Mais, lorsque les derniers temps étaient venus pour elle et qu’après de nombreux cataclysmes, perpétrés sur des millénaires, elle avait survécue, disloquée et réduite à une île immense au milieu de l’Océan, elle connut son dernier jour. Ainsi, après être montée au sommet de la Connaissance et descendue dans les tréfonds de l’iniquité, l’Atlantide sombra-t-elle en une nuit de l’an 9 564 av J C. Nous sommes heureux de présenter au public cet ouvrage sur l’Atlantide.
Nous pensons, en effet, que nous vivons en ce début de IIIe millénaire le même enjeu dans lequel se débattit l’Atlantide qui échoua : Elle possédait une grande connaissance scientifique, mise au service du confort matériel, ce qui n’est pas critiquable en soi. Nous possédons aussi cette connaissance bien que moindre à celle des Atlantes. Ses dirigeants s’enfonçaient dans le matérialisme et, par des procédés de Magie Noire, ils agissaient sur les peuples afin que ceux-ci se coupent de leur Origine Divine.
Nos dirigeants ne jurent que par la matière et, bien que cela soit partiellement connu maintenant, ils usent aussi de pareils procédés occultes à caractère ténébreux afin d’enfoncer les masses dans l’inconscience. Elle fut mise devant un choix et ce dernier lui fut fatal.