La Bible pour les Cérémonies Maçonniques
Auteur(s) | traduit par J.N. Darby |
Éditeur | Editions Maçonniques |
Date de parution | 2007 |
Code EAN | 9782352130734 |
Rayon | Livres Sociétés initiatiques Franc-maçonnerie |
69.00 €
Description
COMMENTAIRE DE L’ÉDITEUR
En présentant au lecteur cette nouvelle édition de notre traduction de la seconde partie des Saintes Écritures, appelée Nouveau Testament, il convient que nous rappelions les principes qui nous ont dirigés dans notre travail, et que nous donnions quelques renseignements sur le plan que nous avons suivi dans cette seconde édition.
Profondément convaincus de la divine inspiration des Écritures, nous avons cherché à les traduire en reproduisant aussi exactement que possible, en français, ce que Dieu nous a donné dans une autre langue, inconnue de la plupart des lecteurs de la Bible : nous avons rendu le grec aussi littéralement que le comportait la clarté nécessaire à l’intelligence de ce qui est dit.
La profondeur de la parole divine est infinie, et l’enchaînement qui existe entre toutes les parties du mystère divin n’est pas moins admirable, bien que ce mystère ne soit pas révélé comme un tout, car nous connaissons en partie et nous prophétisons en partie.
Ainsi, nous rencontrons souvent dans la Parole des expressions qui, découlant du fond du mystère dans l’esprit de l’écrivain inspiré, donnent avec le secours de la grâce une entrée dans la liaison des diverses parties entre elles et dans celle de chacune de ces parties avec le tout.
Toutes les traductions des Églises de la Réformation sont fondées sur ces textes, et avaient déjà paru, lorsque les Elzévirs de Hollande qui avaient adopté le texte de Th. de Bèze comme type de leurs nombreuses éditions, furent assez hardis pour dire dans la préface de celle qu’ils publièrent en 1633, que le texte qu’ils présentaient ainsi, était : « textus ab omnibus receptus », texte reçu de tous.
Ce texte, appelé dès lors du nom de « texte reçu » a fait autorité jusqu’aux travaux critiques modernes, au sein du protestantisme, et a été généralement suivi par les quelques traducteurs protestants modernes.
Les traductions catholiques sont faites sur la Vulgate latine. Quoi qu’il en soit, tous les textes dont nous venons de parler ne reposent que sur un nombre très restreint de manuscrits. La critique sacrée aussi était fort peu avancée à l’époque où ils furent publiés.
La Librairie Savoir-Être vous recommande